La mesure au cœur de la réussite de la transformation

88% des cadres considèrent que leur entreprise se transforme. 98% considèrent que la transformation est en cours ou sur le point de… La majorité d’entre eux considère qu’elle est une nécessité*

La transformation est partout ….

Dans un monde qui change toujours plus vite, se transformer pour exister demain est une nécessité. Nouveaux business models, nouveaux processus, évolution de la gouvernance, innovation managériale, aucun secteur de la vie de l’entreprise n’est épargné…

Pour réussir ce processus de transformation, tournant souvent délicat dans la vie d’une entreprise, il n’y a bien sûr pas de recette miracle ou de baguette magique. Mais une constante revient parmi les facteurs clé de succès : la nécessité de mesurer régulièrement son appropriation et sa mise en œuvre par les équipes.

 

Tout ce qui ne se mesure pas n’existe pas !

La mesure, un bien nécessaire

“J’ai l’habitude de dire que tout ce qui ne se mesure pas ne progresse pas, dit Antoine Coupée, responsable du département Etudes du groupe Edifia.

“La transformation n’échappe pas à cette règle ; c’est une dynamique progressive dans laquelle il faut savoir  situer l’ensemble des équipes, managers et collaborateurs à chaque période clé pour assurer la réussite du processus. Il est fréquent que des phases “de découragement “ ou de ralentissement alternent avec des phases d’emballement ou de bonne avancée“. C’est un phénomène normal mais qui rend nécessaire l’écoute régulière de ses signaux et la compréhension de ce qui doit être amélioré pour garder le cap et éviter que le processus de transformation ne s’enlise.

 

Un outil pour suivre ce qui se passe “à tous les étages”.

C’est le sens et la finalité du baromètre de la transformation que nous avons créé : articulé autour de 30 questions très directes, cet outil simple et efficient permet un éclairage régulier sur la manière dont managers et collaborateurs perçoivent et vivent la transformation.

“Nous intégrons naturellement  des critères comme le degré d’information, de compréhension ou d’appropriation par chacun du processus de transformation. Mais nous avons souhaité enrichir le baromètre en y ajoutant une dimension plus émotionnelle“ rajoute Antoine.

Souvent associée à des changements de postures ou de comportements individuels et collectifs, la transformation est presque toujours un processus à haute teneur émotionnelle ; disposer de données plus qualitatives, de verbatims sur le ressenti, le degré d’engagement (de scepticisme, d’enthousiasme) ou la vision plus ou moins positive que chacun en a, les gains ou les pertes associés sont clé pour ajuster l’accompagnement des managers et des équipes et éviter le décrochage.

 

Une régularité aux bénéfices multiples

Régulièrement administré, à une fréquence ajustée au cycle de la transformation (en moyenne au lancement, puis tous les 3 mois jusqu’à la fin du processus), ce baromètre est un élément précieux dans le dispositif d’accompagnement de la transformation.

  • En terme de communication d’abord : présenter aux collaborateurs cet outil comme un support d’expression individuel et collectif  “ouvert” et “mis à leur disposition” est un facteur de facilitation (nous sommes à votre écoute # marche ou crève).
  • En terme de mobilisation, ensuite : les résultats vont permettre d’identifier les conditions nécessaires à un engagement de chacun dans l’action.
  • Et d’efficience, enfin : les données issues du baromètre donneront “en temps réel” aux équipes pilotes de précieuses informations pour optimiser  au fil de l’eau le déploiement des différents volets de la transfo (ajuster, corriger, expliquer, accompagner, réexpliquer…). Et se donner ainsi toutes les chances de réussir ensemble.

 

Vous souhaitez une démo ? Contactez dès aujourd’hui Isabelle Pelletier.

 

*(étude menée par l’APEC auprès de 712 cadres dirigeants âgés de 35 à 45 ans, représentatifs des cadres actifs au sein d’entreprises de 50 salariés et plus).